Chacun de nous connaît cette date du 8 mai 1945.

Il y a deux aspects dans cette date :

 la dimension nationale de la Seconde Guerre Mondiale !

 les évènements de SETIF.

Ce sont ces évènements là qui nous intéressent aujourd’hui.

Ce 8 mai 2008, une oeuvre de désinformation nationale a été lancée sous le thème de l’ANTI COLONISATION, s’appuyant sur les évènements de SETIF.

Il n’y a aucun intérêt à entrer dans une polémique qui pourrait durer des années (c’est d’ailleurs déjà fait).

Qu’elle est la situation ?

C’est simple, le décompte des victimes arabes ou musulmanes qui a été fait est tout simplement ridicule et irresponsable.

"les autorités françaises se sont appuyées sur les cartes d’alimentation manquantes pour décompter les absents donc disparus selon eux."

En face de cela et après coup, l’Etat Algérien récupérant ces évènements, parle de milliers de morts, comme si une bombe atomique était tombée dans la Région !

Ces deux positions sont totalement inadmissibles et absolument pas crédibles.

Comment faire pour en sortir ?

2008 - 1945 = 63 ans !

Cela signifie que toute personne de 70 ans et plus jeune sans doute, doit tout de même bien savoir si dans sa famille, quelqu’un a disparu.

NOTREJOURNAL.INFO lance donc un appel à tous les Algériens de la région pour qu’ils se manifestent !

Faites passer ce message diffusez-le !

Note : le problème n’est pas de chercher à contester ou contredire, mais bel et bien de constituer une base solide pour avancer sur cette question.

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Comment faire pour communiquer vos renseignements ?

 La partie la plus délicate est de garantir le secret des communications. Car il est évident que cette initiative, pourtant légitime, ne va pas plaire à tout le monde en Algérie notamment, mais pas seulement.

 L’autre difficulté est de valider les témoignages.

Nous avons mis en place des solutions pour avancer dans ces deux problèmes majeurs. Il est évident que nous n’allons pas en publier les modalités.

Toutes celles et ceux qui pensent que cette initiative est intéressante, peuvent se joindre à nous. Ecrivez au Journal.

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