En août 1958, le colonel de BLIGNIERES prend le commandement du 1er régiment étranger de cavalerie chargé de la pacification du Constantinois. En 1960-1961, il est chef d’état-major de l’OAS en France. Arrêté en septembre 1961, condamné en septembre 1963 à six ans de détention criminelle, il est libéré fin décembre 1965. Il fut le président de l’Association pour la sauvegarde des familles et enfants disparus enlevés par le FLN en Algérie. Il échappe en 1970 à une tentative d’enlèvement probablement commanditée par des voyous en quête du « trésor de l’OAS ». Retiré dans ses terres en Bretagne, il meurt à Mordelles (35) en 1989.