Bonjour,
C’est à un vrai voyage au paradis perdu que je vous convie pour vous permettre de vous replonger dans cette ambiance à laquelle nous étions si attachés.
Je dois vous avouer que je mettrai sûrement beaucoup de temps à reprendre ces Histoires Algériennes que je vous destine.
Le respect que j’ai pour ma collection l’ « Algérie Heureuse » m’impose de ne pas scanner.
N’étant pas dactylo de formation, je ne tape que ce que je vois et croyez-moi, saisir rapidement et convenablement en lisant de tels textes, c’est presque mission impossible.
Plongé dans ce bain de bonheur, je ne peux, quelle qu’en soit l’heure, retenir mes rires et c’est alors que me traverse l’esprit, l’idée me conduisant à penser que mon épouse pourrait être conduite à demander mon internement en m’imaginant un peu cabossé.
Des rires aux larmes il n’y a qu’un pas que je ne m’interdis pas de franchir surtout quand ces dernières sont de bonheur. Me voilà donc, les yeux embués et les doigts inopérants. Cette saisie qui, en temps normal, ne me prendrait que quelques minutes, prend alors des proportions que je ne peux mesurer.
Le fou-rire m’envahit, je vis littéralement les scènes et c’est bien ce que je souhaite provoquer en vous.
C’est toute notre Algérie, du bonheur, rien que du bonheur.
Pour celles et ceux qui ont des problèmes de retenues, prenez vos précautions avant de vous aventurer sur une lecture que vous n’interromprez qu’au point final.
Pour ceux qui ont le rire facile, à vos mouchoirs.