Economie souterraine :circulation des armes dans les cités

, par  Allezou...bIda ✞ , popularité : 6%

"Un adolescent, se trouvant au mauvais endroit, au mauvais moment est abattu lors d’une fusillade dans une rue d’un quartier sensible de Lyon" et à cette occasion tout le monde s’interroge sur cette économie parallèle que représentent les trafics d’armes et de drogue, allant jusqu’à interviewer un spécialiste de la voyoucratie et du grand banditisme (J.Pierrat dans France Soir du 15/12/2009).

L’angélisme "provocateur" des média et des politiciens me laisse "pantoise" et il en faut vraiment beaucoup pour en arriver là.

Depuis quand devons-nous faire appel à la clairvoyance des spécialistes pour comprendre que la France est gangrénée par ces réseaux de traificants revendant jusqu’aux cigarettes à l’unité, alimentant financièrement les activistes de tout poil ayant pour mission de déstabiliser l’Occident et quelquefois seulement la toute petite et vieille Europe : pour "diriger" le monde les grandes puissances doivent faire régner le désordre cher leurs voisins et alliés et établir ainsi leur suprématie.

Beaucoup d’armes circulent, petites armes de poing, fusils de chasse (utilisés ces derniers temps, lors des émeutes pour tirer contre les forces de l’ordre) mais également des armes de guerre en provenances des stocks de l’Europe de l’Est, notamment de l’ex-Yougoslavie.

Les tarifs nous sont fournis :

* 2 500 euros : une kalachnikov et un chargeur de 25 balles ;

* 1 500 euros : un pistolet mitrailleur (parfois 1 800 euros) ;

* 5 000 euros : un lance-roquettes (plus rare donc plus cher).

Ces armes particulièrement dangereuses peuvent atterrir entre les mains de jeunes délinquants, celles-ci leur ayant été revendues par des professionnels avec un lourd passif judiciaire.

L’interviewé signale que le trafic de drogue s’est démocratisé dans les cités. "L’organisation n’est plus verticales mais horizontale", comprenne qui pourra, mais au final, cela signifie que plusieurs groupes sont en concurrence, alors pour se défendre (pour agrandir leur territoire et faire fructifier leur petite entreprise), ils règlent leur compte sur la place publique : en 2008, 120 mort en France, les trois quarts étaient des quartiers.

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[marron]Dormez en paix Braves Gens :

"Il ne faut pas fantasmer, il n’y a pas à proprement parler de trafics d’armes industriellement organisés".

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[marron]PAROLE DE SPECIALISTE

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