On vous le disait ! avant = barbarie !

, par  MORA , popularité : 11%

La question fondamentale et essentielle de la référence historique !

Ces questions soulèvent un vrai problème, pas propre à l’Algérie, qui concerne l’Afrique globalement et de nombreux pays d’Asie et même du Moyen Orient.

En fait avec le passage de l’Occident (le vilain colonisateur) beaucoup de contrées ont tout simplement émergé de l’oubli total.

L’écriture et la société structurée ont "démarré" les histoires relatives à partir des premières traces ! Encore une pierre (un sacré rocher quand même) dans l’histoire des ennemis de la colonisation et de l’Occident qui dénoncent à tout propos, l’utilité de la démarche !

« Nous ne pouvons pas répertorier quelque chose dont nous ignorons l’existence. » C’est en ces termes que M. Abdelmadjid Cheïkhi, le directeur de l’Office national des archives algériennes, a répondu, la semaine dernière, à une question relative aux raisons qui empêchent l’Algérie d’établir son propre répertoire sur les documents et autres ouvrages, tableaux ou films spoliés.
Il est donc impossible à l’Algérie de savoir ce qu’elle possède comme biens et documents et de reconstituer l’histoire à partir de faits matériels. Nous savons qu’en plus d’être des moyens de prouver et de garantir des droits, les documents d’archives constituent des sources pour l’historien ou pour quiconque voudrait connaître le passé. Comment peut-on alors produire des historiens ou de l’Histoire sans archives ?

Voir en ligne : L’Algérie cherche à se réapproprier ses archives pour décrypter son passé

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