Allo maman bobo
J’écoute France Inter chaque matin (nobody is perfect) que je me permets d’appeler quelques fois France Intox (ce qui ne m’empêche pas d’y trouver ce qui m’intéresse avec un éclairage plus ou moins discutable)
Le 7-9 du samedi et dimanche présenté par Stéphane Paoli et Sandra Freeman :
Invités du 6 septembre :
Agnès Spiquel : Professeur de littérature à l’Université de Valenciennes et du Hainault-Cambrésis, Présidente de la Société des Etudes Camusiennes.
A édité l’essai de Jacqueline Valensi : "Albert Camus ou la naissance dun romancier 1930-1942" Edition Gallimard 2006 ;
Claude Hannoun : Virologue, Chef de Laboratoire à l’Institut Pasteur - Expert à l’O.M.S sur les maladies à virus, auteur de "La grippe, ennemie intime" ;
Hugues de Jouvenel Directeur et Rédacteur du Futuribles : l’anticipation au sein de l’action - Centre indépendant de réflexion prospective sur le monde contemporain.
Il était question du traitement médiatique du virus de la grippe porcine :
(sans en nier la gravité)
Pourquoi une telle médiatisation, que veut-on nous cacher ? Question que beaucoup de gens se posent - j’ai eu la preuve que le matraquage fonctionne : dans les transports en commun il n’est plus question que de ça, les épidémies précédentes on fait un grand nombre de victimes, la grippe aviaire n’est toujours pas éradiquée, le cancer tue tous les jours 300 personnes, la malaria dans les pays émergeants fait des ravages, le virus ébola, le sida....(n’en jetez plus, la coupe est pleine).
Alors pourquoi un tel traitement pour cette future "pandémie" ?
Ces personnes ont donné des pistes : diffusion de la peur pour masquer les véritables problèmes.
Le 9 - 10 du dimanche 6 septembre : Interception, émission de Pascal Dervieux et Lionel Thomson : "Quand les abeilles ont le bourdon"
"Si l’abeille venait à disparaître, l’homme n’aurait plus que quelques années à vivre" (A.Einstein).
Il fut question du méfait des pesticides, du frelon asiatique, et de tout ce dont nous avons eu vent depuis quelques temps.
Au Pays Basque un apiculteur à perdu 30% de son "cheptel", mais l’Europe ne se porte pas si mal : Le Sud et l’Est des États-Unis ont perdu 90% de leurs ruches.
En 1995 la France produisait 32 000 tonnes de miel, en 2007 chute d’un tiers de la production.
MOI AUSSI J’AI EU LE BOURDON
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