Algérie : tribalisme anté coloniale... et Chine idem Soumettre Communiqués/Documents/autres

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Intervention de : Pierre Barisain-Monrose


Actualité (Dimanche 10 Août 2008) Liberté Algérie

Après le drame de M’sila et l’affaire de Zéralda - L’État démuni face à la vendetta urbaine Par : Salim Koudil

De M’sila jusqu’à Khenchela en passant par Berriane et Zéralda, la multiplication des actes de violence a pour origine, au-delà du marasme social, le retour des vieux démons de l’extrémisme religieux.
Ce dernier tente de manipuler une base sociale en proie à des problèmes multiples afin de créer la confusion et reprendre du poil de la bête en l’absence de l’autorité de l’État.

Depuis le début de cet été, les annonces funèbres se succèdent. En plus des attentats terroristes, du massacre quotidien sur nos routes, des corps de harragas repêchés, la violence urbaine prend une ampleur dont les conséquences sont d’ores et déjà dramatiques. Les raisons de ces évènements sont aussi diverses que nombreuses et l’urgence d’y remédier n’est plus à dire. Il s’agit d’apporter et rapidement des solutions idoines...//...

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Cette ambiance de violence qui règne en Algérie est trop facilement expliquée par le caractère nerveux de ses habitants. En l’absence d’études fiables (surtout de la part des sociologues résidant en Algérie), la navigation dans le flou est, jusqu’à preuve du contraire, la politique appliquée par les responsables.
Tout le monde est en train de constater un véritable retour en arrière de la société. Cela va du retour du tribalisme jusqu’à la propagation de la salafia et de l’extrémisme religieux, en passant par le conservatisme. Un “réveil” s’impose.

Salim Koudil ( fin de citation)

NDLR : les vieux démons contre lesquels la France n’a cessé de lutter, en Algérie, sont de retour.

Quant à la Chine, elle récolte dans ses provinces de l’Ouest, le SIN-KIANG, ce qu’elle a semé. N’a-t-elle pas été la première nation à reconnaître le GPRA et à soutenir l’indépendance de l’Algérie ? A présent, entre révoltes Ouïgours et Turcophones, la voila confrontée au fondamentalisme musulman, Charria, Djihad et toute la panoplie classique des 4 "vieilleries" comme les qualifiait la révolution culturelle, regroupés sous le doux nom de Parti réformiste islamique du Turkestan oriental, Parti islamique démocratique du Turkestan oriental, Parti d’Allah du Turkestan oriental islamique, Al Quaida, Tadjiks sunnites du Pamir ou encore Dongtu chiite ...

Les Hans, qui sont les colons implantés par la Chine communiste, n’ont plus qu’à attendre un De Gaulle chinois pour se retrouver "en caleçon US", sur les quais de Shangaï...

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