ALGERIE : l’addition, phase 3

, par  MORA , popularité : 34%

Après moults rodomontades ... voici la sortie...

L’ALGERIE accepte de venir à l’UPM !!

Sans doute les accords nucléaires civils n’y sont-ils pas étrangers ?

A suivre donc... Attentivement.

Interrogé sur le retard dans l’annonce de la décision d’Alger de prendre part au sommet de Paris, le président Bouteflika a déclaré :

“Il n’y avait pas de réticences, il n’y avait que des pourparlers.”

Un langage très diplomatique qui cache mal dans les faits les hésitations de l’Algérie à cautionner un processus politique qui, au-delà de ses arrière-pensées de normalisation avec Israël, ne lui permet pas de briller, vu sa position géostratégique, au sein du bassin méditerranéen.

Il faut dire que l’absence d’un poste au sein du secrétariat de l’UPM a suscité la colère d’Alger, d’autant que des informations non démenties par l’Élysée font état d’un partage des rôles entre le Maroc, la Tunisie et l’Égypte.

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L’échec de l’Union africaine à former un "gouvernement continental" lors du sommet qui s’est tenu début juillet à Charm El-Cheïkh, en Egypte, n’est certainement pas étranger au "oui" algérien. Autrement, les rapports de force auraient été tout autres. Après avoir exprimé très tôt son intérêt pour la "version initiale" de l’UPM, Bouteflika avait été déçu par l’arrimage de ce projet à l’Union européenne dans son ensemble plutôt qu’aux seuls pays riverains de la Méditerranée, l’Allemagne n’ayant pas voulu rester à l’écart.

Voir en ligne : LIBERTE Edition du jour

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