Vous ne le savez peut-être pas (vous n’en seriez pas mort idiot) mais Gérard Depardieu s’est lancé dans un nouveau défi ogresque : il est Alexandre Dumas dans le dernier film de Safy Nebou "L’autre Dumas" (la relation du grand homme et de son nègre : si si de son nègre, au fil des mots vous comprendrez pourquoi j’insiste sur la négritude).

Je n’aime par particulièrement cet acteur, je ne le déteste pas non plus, vous dire qu’il m’indiffère, oui peut-être, mais ce n’est pas pour vous parler de mes goûts de groupie que je fais cette article.

Figurez-vous que le metteur en scène est montré du doigt pour son erreur de casting, non pas que GéGé démérite, non vous n’y êtes pas (d’ailleurs qui d’autre aurait pu tenir ce rôle), en fait il s’agit là de "négrophobie" :

GÉRARD DEPARDIEU N’EST PAS MÉTIS.

si Depardieur est cloué au pilori, c’est parce qu’il est...blanc, donc incapable, forcément incapable, d’interpréter le rôle d’un fils de mulâtre

(Source Marianne)

Christopher Waltz (prix d’interprétation au dernier festival de Cannes) avait-il sa place sa place dans le rôle de l’affreux colonel nazi d’Inglourious basterds (le dernier Tarantino) ? Ruppert Everett (homo auto-proclamé) n’aurait jamais dû tenir le rôle d’un mari idéal, Bourvil n’aurait jamais dû tourner dans un film où il n’était pas question de camembert et de crème fraiche, de Funès en Rabi Jacob, mais c’est une hérésie, Fernandel, oh Fernandel et Raimu dans des costumes autres que pagnolesques.... c’est une insulte à la bonne conscience.

Ils ont eut le CRAN d’en faire une affaire d’état.

L’ÉTAT aura-t-il le cran d’en faire tout simplement une affaire ?