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Toutes ces mesures témoigneront de ma volonté de prendre des initiatives rapides en faveur des rapatriés.

En l’espèce, ma volonté est qu’en 2012 au plus tard, date du 50ème Anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie et fin de la prochaine législature, toutes les questions relatives à la guerre d’Algérie qui n’auraient, à ce jour, pu aboutir, soient enfin réglées de manière satisfaisant pour l’ensemble de nos compatriotes rapatriés.

Ainsi écrivait le 6 avril 2007, le candidat Nicolas SARKOZY aux associations de rapatriés !

C’est bien, c’est beau, mais il reste encore BEAUCOUP DE CHOSES à faire !

NotreJournal rebondit sur ces propos chaleureux, dont la température a beaucoup baissé !

Monsieur le Président, aidez-nous à faire passer un texte qui garantisse la possibilité aux rapatriés de POUVOIR SE DEFENDRE s’ils sont attaqués, salis, méprisés !

Nous souffrons déjà de nombreux cas d’exclusion dans les supports d’expression.

Un véritable APARTHEID qui s’apparente de plus en plus à un délit d’opinion !

NOUS DEVONS pouvoir nous défendre, voyez, on ne demande pas aux autres de FAIRE NOTRE PROPRE TRAVAIL ! On se propose de le faire nous mêmes, mais il nous faut des points d’attache juridiques ! C’est essentiel, incontournable et nous défendrons cette position dans les urnes !

Nous savons bien que la société française est diverse ! Tout le monde ne peut pas nous aimer ! C’est clair !

Mais si nous ne pouvons pas nous défendre, où est l’équité ? Où est la justice ?

La FRANCE ne sortira de son traumatisme post-Algérie,

post-colonial comme diront certains,

QUE SI ELLE LE DÉCIDE

ou bien QU’ELLE LE PERMET !

La libération de la mémoire et du vécu des rapatriés est un instrument majeur pour atteindre la fin de l’omerta sur cette triste période !

Les rapatriés feront leur part, si on les laisse tranquilles !