DECRYPTAGE - Les analystes politiques estiment que ....

Entre les petites phrases retentissantes et les « atermoiements » des deux favoris socialistes en vue de la présidentielle, le PS prend le risque de susciter l’exaspération chez les sympathisants de gauche et de se rendre inaudible sur le fond, estiment des analystes. Malgré un calendrier, arrêté dans la douleur, mais désormais fixé - les candidats seront connus au plus tard le 13 juillet, le vote aura lieu en octobre - le feuilleton des primaires continue de défrayer la chronique socialiste.
« Narcissisme collectif »

Ira ? Ira pas ? Le bal des spéculations autour de la candidature de Dominique Strauss-Kahn a été relancé mercredi par une petite phrase d’Anne Sinclair, qui a déclaré au Point qu’elle ne souhaitait pas que son époux fasse un deuxième mandat à la tête du FMI. Et ce, au moment où la patronne du PS Martine Aubry se trouvait à Dakar pour livrer sa « vision » de l’Afrique et s’afficher au Forum social mondial.