B comme bravitude

Mardi 23 janvier 2007, par MORA , popularité : 8%

La phrase du Jour | 6 |

Comme je l’aime beaucoup celle là (la blague), je pense qu’il serait opportun d’organiser un petit conconcours des meilleures créations !

B comme BRAVITUDE devient donc une référence créative !

Alors il y a 2 solutions ou bien on crée de nouveaux mots ou bien de nouvelles définitions !

BRAVITUDE devient = bravoure à -4°C après un riz cantonnais...

CERTITUDE = conviction totalement erronée des BoBos parisiens

à vous de jouer !!!

Vos commentaires

# Le 23 janvier 2007 à 16:22, par Jean Claude THIODET ✞ En réponse à : B comme bravitude

Pour alimenter le lexique, il faut ajouter le mot de la Ségo qui parlant de MONTBOURG et de sa bourde, a dit : "c’était un mot de spiritualité De là à la scientologie, il n’y a plus qu’un pas (pas plus d’idioties madame s’il vous plait !)

Ah, mais où avais-je la tête ? j’allais oublier "la France respirante" . ! Vous verrez qu’elle finira à l’Académie Française, cette p’tite chate hollandaise !! encore qu’à mon avis elle le mérite beaucoup moins que madame Assia Djebbar ! au moins que le plan de la linguistique !
# Le 12 avril 2009 à 20:39, par Marino En réponse à : B comme bravitude

pas plus d’idioties madame s’il vous plait !

P comme"pardon"

"Quelqu’un est venu ici vous dire que « l’homme africain n’est pas entré dans l’histoire. Pardon pour ces paroles humiliantes, qui n’auraient jamais dû être prononcées et qui n’engagent pas la France. Car vous aussi, vous avez fait l’histoire, vous l’avez faite bien avant la colonisation, vous l’avez faite pendant, et vous la faites depuis." .Elle a poursuivi : la France doit honorer sa dette à l’égard de l’Afrique, et les Français doivent apprendre à l’école ce qu’ils ont reçu de l’Afrique. »

Parler au nom de la France et des Français, c’est une usurpation, Madame !!!.
# Le 13 avril 2009 à 09:20, par Jean En réponse à : B comme bravitude

Je serais fort étonné si "Bravitude" pouvait nommer ne serait-ce que DIX "choses" que les Européens, les Français en particulier, "doivent à l’Afrique"...Le "Tam-tam", peut-être...!

"Bravitude" a oublié que,tout, je dis bien TOUT ce qui venait d’Afrique était produit GRÂCE à des FRANÇAIS, même si la "main-d’oeuvre" était autochtone, ce qu’elle appréciait au plus haut point, puisque ça lui permettait de MANGER ! Il n’y a qu’à voir l’état de misère dans lequel se trouvent ces peuples depuis le départ des Français...

"Bravitude" en est encore à "régler ses compte" avec un "Père trop sévère" et sûrement "DE DROITE".

J’aimerais tant que tous ceux qui ne se sentent pas "bien" dans notre pays s’en aillent chercher ailleurs ce qui leur manque, au lieu de vouloir, avec un entêtement imbécile, tout démolir dans leur pays qu’ils "conchient" comme un certain "poète" communiste venu d’Aragon...

Jean.
# Le 13 avril 2009 à 17:30, par christianrenepacaud En réponse à : B comme bravitude

Bonjour .

Chaque Peuple , chaque civilisation a produit quelque chose d’ingénieux et je n’irai pas dire que l’ Afrique n’est pas rentré dans l’histoire . Quelle histoire ? Elle a eut certainement sa propre histoire aussi valable que la nôtre .
Par contre où je rejoins tout le monde , c’est que la politique extérieure ne doit pas être dénigré , surtout à un si haut niveau . Tout le monde soutient l’armée et la politique extérieure de la France quelques soient ses convictions .

Bref n’attribuait pas le tam – tam à l’Afrique ou à l’Asie , il est universel .

Un tam-tam est un idiophone à son indéterminé, contrairement au gong. Depuis l’époque coloniale, le vocable « tam-tam » est abusivement utilisé (génériquement ?) pour désigner n’importe quel tambour — surtout s’il vient ou est censé venir d’Afrique.
Cet instrument de percussion d’origine asiatique a été apprécié par les compositeurs occidentaux en raison de l’effet mélodramatique produit par sa sonorité profonde et métallique. Il a été introduit parmi les percussions de l’orchestre symphonique au XIXe siècle.
François-Joseph Gossec l’a utilisé pour la première fois en Europe en 1791 dans la Marche funèbre composée à la mort de Mirabeau. Par la suite, il a été utilisé, par exemple, dans le Requiem de Luigi Cherubini, dans Roméo et Juliette de Daniel Steibelt en 1793, ou dans La Vestale de Gaspare Spontini en 1807.
Une de ses premières utilisations dans la musique militaire a été décidée à l’occasion de l’exhumation des restes de Napoléon Bonaparte aux Invalides le 15 décembre 1840.
Selon l’Encyclopædia Britannica, la qualité de la sonorité des tam-tams serait due à la composition de leur bronze comprenant quatre-vingts parties de cuivre pour vingt d’étain, ainsi qu’à leur trempe à l’eau froide. Cette particularité aurait été redécouverte au début du XIXe siècle par le chimiste Jean-Pierre Joseph d’Arcet.Serein
# Le 14 avril 2009 à 09:30, par Jean En réponse à : B comme bravitude

Bien sûr, ami Serein, qui n’a pas vu et contemplé ces gros "tambour" asiatiques en bronze que des préposés "spéciaux" font retentir pour des célébrations auxquelles les non-initiés ne comprennent que "couic" !

Pour ce qui concerne les "tam-tam" africains ils étaient (sont ?) essentiellement fabriqués à partir de troncs creux et fendus qu’on pose sur des morceaux de bois pour les isoler du sol afin qu’ils "résonnent" et sur lesquels on frappe selon certains rythmes, un peu comme le code Morse.

Pour ce qui concerne "l’Histoire", il faut d’abord s’entendre sur le sens donné à ce mot ! Si on parle de l’histoire du "monde dit civilisé", certes l’Afrique n’y a pas encore pris la place qui doit lui revenir car elle en est restée au stade "tribal", au stade du "chef" qui s’accapare de tout, distribue quelques miettes à son entourage et néglige tout le reste.

Les "dirigeants" des pays d’Afrique n’ont pris que le PIRE de l’enseignement des Colonisateurs Européens.

Avant l’arrivée des Colonisateurs Européens, l’Afrique a certes eu une Histoire dont le tort est qu’elle n’a pas été "ECRITE".

Des royaumes existaient, des "échanges commerciaux" se faisaient avec les pays voisins et même lointains : ne serait-ce que la vente d’esclaves aux pays Arabes, Afrique du nord, jusqu’en Arabie.

Je pense que c’est ainsi qu’il fallait comprendre la phrase de Sarko.

Maintenant, si nous devions relever toutes les déclarations "saugrenues" de "Ségolahaine", à commencer par "l’efficacité de la JUSTICE en Chine", ça deviendrait vite une tâche impossible...

Bonne journée.

Jean.
# Le 14 avril 2009 à 12:09, par Marino En réponse à : B comme bravitude

Frédéric Lefebvre, porte-parole de l’UMP dans un communiqué : "Mme Royal n’a trouvé comme seul moyen de faire parler de son voyage (...) que de proférer des attaques infantiles contre Nicolas Sarkozy devant ses amis du Parti socialiste sénégalais."

Selon lui, elle "fait un contresens historique en Afrique, tout simplement pour faire diversion". "De Chine à Dakar, en passant par Washington, Mme Royal ridiculise notre pays par son attitude et ses sorties iconoclastes", ajoute-t-il.

Nadine Morano, secrétaire d’Etat à la Famille, sur LCI : "Mme Royal, comme par son habitude, a un objectif, celui d’exister, elle a une recette, la polémique permanente, la démagogie systématique et surtout un antisarkozysme primaire qui ne fait pas une politique (...) et on arrive à de l’antisarkozysme souvent hystérique."

Rama Yade, secrétaire d’Etat aux droits de l’Homme a déclaré sur France 2 : "Il ne faut pas instrumentaliser les Africains (...) Je doute de la sincérité de Ségolène Royal."

On sent bien que la détestation de Nicolas Sarkozy qu’elle entretient depuis la défaite (en 2007, NDLR) est beaucoup plus forte que d’éventuelles préoccupations pour le continent africain", a estimé la secrétaire d’Etat aux Droits de l’Homme. "Je n’aime pas ces comportements suspects qui consistent réellement à prendre l’Afrique comme terrain de jeu de la politique intérieure française".Rama Yade, qui est née au Sénégal, a également déclaré ne pas aimer "quand les deux pays que je porte dans mon coeur sont l’objet ou le théâtre de tels déchirements". Et, dans une pique lancée à Ségolène Royal, elle aussi née dans ce pays, elle a déclaré : "Moi je ne suis pas née à Dakar par hasard, c’est ça la différence".

Comme dit le député PS de l’Essonne Manuel Manuel Valls : Pour ma part, je me suis toujours méfié du lyrisme politique et des visions totalisantes. L’Histoire nous apprend que la crise engendre plutôt le repli sur soi et le populisme. Je préfère porter le débat sur notre capacité à dégager des propositions crédibles et utiles pour les Français.L’antisarkozysme forcené voudrait masquer ce déficit idéologique mais il provoque en réalité un double effet pervers. Le PS sera de nouveau écouté si ses critiques ne sont pas systématiques=, si elles se concentrent sur les authentiques lignes de clivage – la politique économique et fiscale

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