Le mal est si profondément implanté qu’il s’exprime et se développe dès la maternelle. Depuis des lustres, il est explicitement connu, cerné, mis à jour.
Dès lors, il est plus facile d’y remédier et le principe au nom duquel on laisse aller devient incompréhensible.

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Qui donc renâcle à mettre en place les strictes mesures, ou les lois, de nature à ré-imposer de toute urgence l’ordre nécessaire au contrat de l’école ?

Par son renoncement à interpeller les responsables, par son silence, c’est l’ensemble de la société qui est complice de ces dérives. Pourtant, c’est l’avenir de nos enfants qui est en perdition.

Il ne suffit plus que chacun "marrone" dans son for intérieur.

[brown]N’est-il pas temps d’exprimer notre ferme réprobation auprès des autorités compétentes, de ceux qui ont choisi de prendre en main le destin de notre pays et qui tergiversent de mesures complaisantes en mesures molles, toutes aussi inefficaces.