Nissa Rebela attaque en justice le bail unissant la ville de Nice à la mosquée Ar-Rahma

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Siège du mouvement Nissa Rebela. 19/01/2012 – 14 h

Addendum 20 janvier : lire l’article de Nice Matin consacré au sujet.

NICE (NOVOpress) – Depuis près d’un an, les identitaires de Nissa Rebela mènent le combat en première ligne contre la transformation d’une partie du centre-ville en « quartier musulman » (l’expression est de l’AFP !), ghetto communautaire où le peuple historique de Nice devient résiduel.

Il y a eu « l’apéro porchetta-rosé » (version relocalisée du fameux « apéro saucisson-pinard ») permettant de faire cesser pendant plusieurs mois les prières de rue en mettant sur le devant de la scène médiatique cette occupation scandaleuse du pavé niçois par des musulmans aux visées politico-religieuses ; il y a eu aussi l’intense mobilisation et le lobbying auprès de la mairie pour empêcher l’ouverture d’une seconde mosquée (par des islamistes radicaux liés aux Frères Musulmans) dans le quartier en lieu et place d’un restaurant de 250m², la mairie finissant par préempter les lieux sous la pression ; il y a eu l’intervention – en pleine rentrée politique de l’UMP et devant plusieurs ministres réunis à Nice – de plusieurs militants brandissant des pancartes et scandant « Estrosi complice : pas de mosquées à Nice ! ».

Rue de Suisse aussi, la municipalité a acheté les locaux occupés illégalement (sans titre et sans verser de loyer) par les musulmans depuis ONZE ans. Mais cette fois-ci pour les relouer à ces derniers ! Entérinant ainsi la présence de la mosquée Ar-Rahma, et cela à travers l’utilisation de fonds publics.

La ville de Nice a acheté des locaux avec l’argent des contribuables dans le but d’en faire profiter les musulmans en leur relouant les mêmes locaux qu’ils squattaient auparavant. Christian Estrosi espérant ainsi acheter la paix, favorisant au passage la tendance la plus dure de l’islam en pactisant avec l’imam Magamadov et l’UOIF.

C’est au cours d’une conférence de presse tenue voici moins d’une heure que Philippe Vardon – président de Nissa Rebela – et Me Pierre-Vincent Lambert ont annoncé que la lutte contre l’islamisation du Pays Niçois allait désormais se déplacer sur un nouveau terrain. Désormais, c’est donc sur le terrain judiciaire que ce combat va continuer à travers une action dénonçant cette violation manifeste du principe de laïcité s’appliquant aux institutions de la République. Philippe Vardon – en tant que contribuable de la ville de Nice – a ainsi déposé plainte devant le Tribunal Administratif de Nice contre le bail établi entre la ville et les musulmans. Il est soutenu par l’Association de Défense de la Laïcité, présidée par Me Pierre-Vincent Lambert, qui s’est associée à son action en justice.

Affaire à suivre… de près !

[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine]

Voir en ligne : http://www.islamisation.fr/archive/...

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