LE LOBBY PRO-IMMIGRATIONNISTE ET SES CONSÉQUENCES José Castano
Publié avec l’autorisation de José Castano
LE LOBBY PRO-IMMIGRATIONNISTE ET SES CONSÉQUENCES
« Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé » (Jean Raspail)
Il ne se passe pas un jour où l’actualité (pourtant assez réservée dans ce domaine) ne dévoile son lot de violence dans les rues, les cités, les écoles, les transports publics, les manifestations syndicales… Force est de constater (les associations « antiracistes » vont s’étrangler) qu’elles ont pour principaux acteurs des « jeunes » issus de l’immigration maghrébo-africaine.
Cette violence, cette haine à l’égard de la France, de son hymne, de ses couleurs, s’exprime-t-elle par souci de manifester un ressentiment face à une situation inextricable de rejet ?
Bien sûr que non !
Il y a là tous les ingrédients d’un racisme violent anti-français que nos analystes ne savent pas ou ne veulent pas décrypter par incompétence, lâcheté, idiotie ou crainte d’être taxés de démagogues… voire, de racistes.
Depuis plusieurs années déjà, nous subissons les revers d’une immigration sauvage qui est à l’origine de ces troubles et qui deviennent désormais monnaie courante.
Durant des années des accusations de racisme ont été portées à tort et à travers contre des hommes qui dénonçaient cette immigration sauvage, génératrice d’incompréhension, de haine, et souvent de violence meurtrière venant, la plupart du temps, d’immigrés inassimilables… qu’un certain Ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Président de la République, avait qualifié de « racaille ».
Et ces hommes furent condamnés et jetés en pâture à la vindicte publique parce qu’ils dénonçaient courageusement, sans trêve,
ceux qui voulaient de droit une nationalité, la nôtre, qu’ils méprisaient mais qui leur donnait des avantages sociaux et économiques ;
ceux qui, rassemblés par SOS Racisme, le MRAP, la LICRA, la Ligue des Droits de l’homme… choisissaient soigneusement les accidents « racistes », ignoraient les attentats dont étaient victimes les citoyens à peau trop pâle et ne retenaient que les « horreurs » qui concernaient les peaux brunes ;
ceux qui, ayant une place dans le monde grouillant de la politique, voulaient l’élargir en exploitant un mouvement dont ils n’ignoraient pas les artifices et même en l’accélérant ;
ceux qui, bornés par une conception nationale ridiculement étriquée, n’admettaient aucune différence.
Nous avons à être ouverts et tolérants envers les immigrés, mais nous avons le devoir d’exiger la réciprocité.
Notre tolérance n’est pas une raison pour que nous soyons de « bonnes poires » et nous sommes en droit d’exiger que cette tolérance soit appliquée aux nôtres !
Du reste, encouragés par le lobby pro-immigrationniste, ces jeunes « désœuvrés » ne cessent de se lamenter et de se plaindre, qualifiant leur violence coutumière « d’actes désespérés » et les justifiant par le rejet et l’exclusion dont ils se disent victimes.
Et les raisons d’une telle violence ne manquent pas :
Mépris, discrimination à l’embauche, chômage, manque de projet politique à l’égard de ces jeunes délaissés, racisme, xénophobie, échec de l’intégration… en bref, tout ce que nous avons coutume d’entendre depuis des décennies…
mais de racisme anti-français on ne parle point !
Cependant, on constate qu’outre les centaines de milliards d’euros engloutis en pure perte pour détruire des tours, rénover des quartiers et construire des infrastructures permettant le « mieux vivre », les centres culturels islamiques, les mosquées –qui ne cessent de s’implanter- les radios islamiques, les journaux, les revues et même les émissions de télévision qui se multiplient prouvent, à l’évidence, que nous sommes un peuple tolérant.
Chaque année, le Fonds d’Aide Social (F.A.S) distribue à près de deux- mille associations, censées s’occuper d’immigration, deux-cents millions d’euros, prélevés sur les Caisses d’Allocations Familiales.
En revanche, la réciproque : présence d’ecclésiastiques, ouverture d’églises ou de synagogues en terre d’Islam est tout à fait impensable vu le fanatisme notoire qui sévit dans les pays musulmans.
Y a-t-il là justice ?
Et c’est, précisément, cet excès de tolérance que nous affichons à l’égard de ces jeunes immigrés ou fils d’immigrés –la plupart possédant la nationalité française- qui les poussent aux pires extrémismes.
Pour la petite histoire, souvenons-nous de ce Lies Hebbadj, polygame aux quatre femmes, aux 17 enfants et aux quatre maisons vivant à Rezé (Loire-Atlantique) qui a perçu en trois ans la coquette somme de 175 000 euros de prestations sociales pour « entretenir » sa smala…
Il aurait probablement pu jouir encore longtemps de cette manne providentielle si l’une de ses compagnes n’avait eu la fâcheuse idée de refuser d’ôter sa burqa lors d’un contrôle routier. Ah ! « Quel bon pays est la France, à tous les escrocs, les aventuriers et les fripons ! » s’était déjà exclamé en son temps le Duc de Saint-Simon.
Par conséquent, au nom de la « lutte contre l’exclusion », ces mêmes partisans antiracistes, avec l’appui des plus hautes personnalités de l’État, veulent priver les citoyens français de la liberté de préférer.
Le parlement n’est plus un lieu où l’on s’efforce de convaincre, mais le terrain où s’affrontent les idéologies, par parlementaires interposés.
Ainsi s’instaure progressivement un climat de violence idéologique de plus en plus éloigné des principes démocratiques de tempérance et d’équilibre, sans parler du respect des opinions d’autrui.
Ce qui m’attriste et m’horripile le plus dans cette situation, c’est qu’il existe une frange de la population, couverte par des lois ineptes et des magistrats bienveillants, qui voudrait nous interdire d’affirmer que notre pays, la France, doit appartenir en priorité aux citoyens français.
Pour les représentants de l’anti-France, notre fidélité à cette terre pour laquelle tant de nos pères se sont offerts en sacrifice ne serait dictée que par la haine de l’Autre, de celui qui est différent.
Comment faire comprendre que cette accusation est grotesque et nous en avons assez de le répéter à tout propos.
Nous reconnaissons à tout être humain le droit le plus absolu d’être fier de sa race, de son drapeau et de lutter pour la grandeur et l’indépendance de sa Patrie.
De même nous réclamons le droit pour nous de pouvoir en faire tout autant, sans être soupçonnés aussitôt de fascisme, de racisme, de xénophobie ou de quel désir inavouable de génocide !
« Tout royaume divisé contre lui-même court à la ruine » (paroles du Christ ; saint Jean, 12,25).
Les politiciens sociaux-démocrates construisent un peuple désincarné dont les jeunes déracinés de SOS Racisme et du MRAP constituent l’avant-garde.
Nous, au contraire, nous jugeons plus raisonnable de décider de rester ce que nous sommes plutôt que de devenir ce que nous ne sommes pas et nous mettrons toute notre volonté à défendre notre identité en nous conformant à cette ligne de conduite :
Vouloir sauvegarder l’identité de sa patrie et de la civilisation dont elle fut le creuset n’est pas du racisme… « Aimer l’autre implique que l’on reste soi même ! »
L’engeance la plus exécrable, c’est bien cette intelligentsia « progressiste » - la même qui a servi les tueurs du FLN durant la guerre d’Algérie - constituée par tous ces pseudo-intellectuels qui forment une hiérarchie malfaisante et dominatrice, prétendent monopoliser aujourd’hui la culture et hurlent au racisme quand on évoque un tant soit peu les inconvénients de l’immigration.
Pour comprendre ces problèmes de cohabitation, lorsque l’on réside dans des quartiers « sélects », des hôtels de luxe, des palaces, voire des ministères, il faut venir sur les lieux-mêmes, en subir toutes les nuisances.
Que ces professeurs de morale viennent donc sur place affirmer leur « respect de l’autre » !…
La France, terre de liberté, est allée sans nul doute beaucoup trop loin dans l’usage de cette liberté, jusqu’au libertinage, à la perte des valeurs morales et familiales, oubliant que les droits sont peu de choses auprès des devoirs et que la liberté de l’autre est au moins aussi sacrée que la sienne propre.
Mais il est possible de revenir à ces valeurs, chrétiennes souvent, en tout cas humaines qui ont fait l’unité et la grandeur de la France et son rayonnement dans le monde sans laisser notre pays se travestir en colonie de l’Iran, du Maghreb ou d’un quelconque pays d’Afrique…
Barrés écrivait : « L’intelligence, quelle petite chose à la surface de nous-mêmes ! »
La France, de génération en génération, se reconnaît à travers ces lignées. Elle n’a pas besoin pour exister d’une référence extérieure.
Cette existence implique que tout pouvoir politique en charge du peuple, et qui se voudra démocratique, se devra de préserver l’identité française puisqu’elle sera l’une des sources de sa légitimité.
Il y a une loi de la vie des civilisations et elle est immuable : Lorsque les peuples s’abandonnent, ils sont conquis par une force vitale extérieure, celle qui manque à leurs cœurs amollis et à leurs intelligences perverties.
La démocratie meurt de la mort des lâches.
José CASTANO
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« Honneur aux pays qui se lèvent et honte aux pays qui se couchent » (Chateaubriand)
« Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire » (Albert Einstein)
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Voir aussi ce lien : http://radioclas.over-blog.com/arti...
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