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<img src=
"http://idata.over-blog.com/0/56/18/16/Michel-Garrot-/Gainsbourg-1.jpg" class="noAlign" width="300" height="299" alt="Gainsbourg-1">

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Michel Garroté
– Vous souvenez-vous de la chanson de Gainsbourg : « <span class=
"MsoSubtleEmphasis">je serais content quand tu seras mort vieille canaille » ?

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Dans
la France sarko-étatiste versatile bling bling (équivalent centriste de la gôche caviar), il n’y a que 20% de
dépenses régaliennes (vitales, essentielles, dévolues à l’Etat), dont 11,1% Défense ; 4,7% Sécurité ; 2,7% Justice ; et 0,8% Action extérieure de l’Etat. On compte 5% pour la
Gestion de l’Etat, dont 3,2% Gestion des finances ; 0,8% administration générale.

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On relève que 19%
du budget est consacré aux Transferts, avec 14,3% vers les collectivités territoriales et 5,2% vers l’UE. En clair 42% du budget est alloué au financement d’objectifs non-régaliens, dont 17,1%
Enseignement scolaire ; 7,1% Recherche et enseignement supérieur ; 3,5% Solidarité ; et 2,8% Travail. Faites vous-mêmes le calcul : la répartition de vos impôts est tout
simplement aberrante.

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Le non-régalien
dépasse donc les 42%. De plus, François Sauvadet, ministre de la Fonction publique, a présenté son « projet de réforme » (fous rires dans le public) des moyens alloués aux syndicats.
L’enveloppe globale devrait approcher 1,3 milliard d’euros pour l’ensemble de la fonction publique (lancés de pavés dans le public). En effet, les moyens alloués aux syndicats représenteraient
250 euros par an et par agent, soit une enveloppe d’1,3 milliard d’euros, rien que ça ; on ne s’en fait pas dans le public.

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Par ailleurs, fin
juin, la dette publique française représentait 86,2% de la richesse produite par la France en un an, un chiffre en hausse de 1,7 point par rapport à fin mars. La dette publique française a
augmenté de 46,4 milliards d’euros d’avril à juin, pour culminer à 1’692,7 milliards d’euros. Plus de 1’692 milliards d’euros que devra rembourser la population active. Faites le compte :
c’est monstrueux.

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Question :
quelle est la différence économique et sociale, entre, sarko-étatisme, socialisme et lepénisme. Réponse : au plan économique et social, aucune. Aucun (e) candidat (e) ne propose un
libéralisme conservateur, un capitalisme social. Car toutes et tous, avec des formules démagogiques et décalées à géométrie variable, veulent, en réalité, préserver l’Etat jacobin et ses
privilèges.

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Le
peuple ? Ils et elles s’en moquent éperdument. La chanson de Gainsbourg, « Je serais content quand tu
seras mort vieille canaille », à qui faut-il la dédicacer en premier ? Les clowns candidats (es) au premier tour des présidentielles d’avril 2012 sont tellement pathétiques et nombreux
(ses), que l’on serait presque tenté de dédicacer la chanson à chacune et à chacun d’entre elles et d’entre eux personnellement, avec, en prime, un gros coup de pied aux fesses pour les candidats
et une petite tape sur les fesses pour les candidates…

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Cela dit, il
y aurait, pour les présidentielles de 2012, une façon amusante de voter blanc : prendre un bulletin et écrire sur ce bulletin le nom de quelqu’un (e) qui n’est pas candidat (e) : Adam,
Eve, Coluche, Gainsbourg, Gad Elmaleh, Saint Louis, Clovis, Charlemagne, Golda Meier, Menahem Begin, Ben Gourion, Konrad Adenauer, Otto von Habsbourg, Ronald Reagan ou Margaret Thatcher par
exemple. Une façon de dire personnellement à tous (toutes) les candidats (es) officiels (es) : <span style=
"font-style: normal;">« je serais content quand tu seras mort vieille canaille ».

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Copyright Michel
Garroté <span style=
"text-decoration: none;">http://drzz.info/ & Sources citées

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<a href=
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"text-decoration: none; text-underline: none;">http://batlyrics.com/vieille_canaille-lyrics-gainsbourg_serge.html

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"http://idata.over-blog.com/0/56/18/16/Michel-Garrot-/Gainsbourg-2.jpg" class="noAlign" width="246" height="300" alt="Gainsbourg-2">

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