Hors La Loi 

Pour le monde entier il s’agit d’un mauvais film de gangster, introduisant à minima, au départ, «  l’injustice coloniale  » comme fil rouge du scénario. Cet axiome sert à développer le récit historique – ou la fiction – suivant qu’on en parle en Alger ou ailleurs.

Un fils putatif de Sartre, abonné au Monde, se répandait sur le sujet, en vrac, dégoulinant un galimatias ultragauchiste puisé au Livre de la propagande fellouze .Visiblement il niait la douleur  de ses compatriotes mitraillés, massacrés, celle des milliers de familles de disparus ou dont les sépultures ont été profanées. Cet esprit grossier moque le devoir de mémoire des Pieds-Noirs qu’il stigmatise sans craindre les foudres de la loi. Ce baveur reprend les slogans du clan mahométan qui a fait main basse sur l’Algérie, jouant à la perfection le rôle de «  l’idiot utile  », comme un renégat.

De la même  manière, les chroniqueurs cinématographiques reprennent – à de rares exceptions près – en ânonnant les thèmes propagandistes du dossier de presse d’une  »nation en lutte pour sa liberté  ».

La propagande du clan des pilleurs de l’Algérie coule ainsi dans les cervelles de copistes bien pensant, incapables de compassion pour ceux qui croyaient être leurs «  compatriotes d’outre méditerranée  ». Ces  »idiots utiles«  à la razzia cultivent un racisme anti pieds-noirs sous couvert d’anticolonialisme, comme ils cultivent leur antisémitisme sous couvert d’antisionisme. Ils psalmodient, comme leurs maitres, des hadiths haineux puisés au Livre de la propagande tels ces talibans cancres vaniteux adeptes du terrorisme.

Il ne faut pas faire quartier aux terrorismes, notamment à celui qui a épuré l’Algérie par le massacre et généré dictature, corruption, islamisme radical.

GG-09/10