LYON COCHON et LIBERATION désinformation !

, par  MORA , popularité : 24%

Communiqué de presse du 16 mai 2011

Libération sort les gants plombés…

Quel est le point commun ce matin lundi 16 mai, deux jours après le rassemblement pour la liberté de Lyon, entre le quotidien Libération et les nervis anarchistes qui ont tenté samedi d’attaquer le local identitaire ? Une volonté de criminaliser le discours identitaire et donc d’interdire tout débat. Pour ce faire, quoi de mieux que d’oublier les faits, de truquer les chiffres et de raconter une fiction ?

Dissection en cinq point d’une manipulation…

1 - Libération ressort la vieille lune du Bloc Identitaire qui serait issu « d’Unité radicale, le mouvement de Brunerie qui a tiré sur Chirac ». Or, Maxime Brunerie, lors de son procès, comme dans son livre qui vient de paraître, dit exactement le contraire. Ainsi, dans l’ouvrage "Une vie ordinaire", page 148, il est possible de lire le passage suivant « Le Bloc identitaire et Unité radicale, auxquels on m’associa souvent indûment, se fendirent d’un texte pour décliner toute responsabilité. A juste titre. ».
Faire ce lien entre les Identitaires et Maxime Brunerie, c’est donc faire preuve d’une totale malhonnêteté intellectuelle. Le Bloc identitaire n’hésitera pas désormais à poursuivre tous ceux qui continueront à propager un tel mensonge.

2 – Libération écrit : « les crânes rasés étaient omniprésents ». Bien sûr ! Il faut toujours que ces fameux crânes rasés soient « omniprésents ». Quitte à comptabiliser les cheveux courts à la mode et les chauves… Et à bien se garder de montrer une photo en plan large de du rassemblement. On mettra au crédit de Libération, cependant, de nous avoir épargné la photographie, publiée par certains médias, d’un jeune homme faisant le bras tendu. Ce provocateur a été identifié en tant que membre d’un groupe de proches du député européen Bruno Gollnisch.

3 – Les Identitaires « n’auront pas réussi à retenir complètement leurs troupes » qui seraient ensuite aller casser les vitrines d’un kebab. Bien sûr… Et la marmotte avait le crâne rasé. Libération « oublie » la responsabilité de l’Etat et des forces de police dans ces incidents. Contrairement au dispositif de sécurité identitaire qui a tenu l’écart un groupe d’environ 50 supporters de football, les forces de l’Etat ont gentiment laissé baguenauder dans les rues ces 50 personnes. Elles ont de même, et de toute évidence, laissé s’établir le contact sur le pont de la feuillée avec une centaine de nervis anarchistes, venus attaquer le local identitaire.

4 « Les Identitaires étaient environ 400 ». Dans sa version web, Libération avait durant l’après-midi du samedi écrit 300. Encore un effort et ils arriveront à citer le chiffre de la police : 550.

Au total, le ton et la ligne de cet article de Libération sont en parfaite adéquation avec ceux des sites de l’extrême gauche lyonnaise. Le but est de criminaliser le mouvement identitaire et d’inciter l’Etat à interdire systématiquement toute expression publique non-conforme sur des sujets comme l’islam ou l’immigration.

Pour conclure, le Bloc Identitaire condamne toutes les violences, d’où qu’elles viennent. Il fait remarquer que son rassemblement a été paisible comme le souligne l’ensemble de la presse lyonnaise. Les affrontements et les agressions relatées par la presse se sont tous déroulés en dehors de la place Saint-Jean, et de nombreuses heures après la fin de la manifestation identitaire, voire la journée suivante. Aucun militant identitaire n’est impliqué dans ces violences ou n’a été interpellé.

D’une certaine manière, ce flot de désinformation témoigne de l’inquiétude d’une certaine gauche et de l’Etat face au développement identitaire en France et, de fait, apparaît comme un sympathique aveu de cette grande peur du Système face à l’émergence d’une force populiste nouvelle.

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