« Algérie, une guerre sans fin » montreurs d’images Films et Vécus

, par  MORA , popularité : 8%

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« J’avais tourné la page à mon retour d’Algérie, fin 1960. À la retraite, j’ai ressenti un déclic » : poussé par l’envie de comprendre, Bernard Weber, poussé vers la sortie trop tôt à son goût par son employeur, s’est mis à dévorer les ouvrages sur cette période récente de l’histoire de France. Une quarantaine de livres sérieux, documentés, n’ont pas tari son questionnement. « Je me suis demandé ce que j’étais allé faire là-bas… ».

« Jusqu’en 1999, l’on ne parlait que d’opérations de maintien de l’ordre. C’est à partir de cette année-là que la guerre d’Algérie fut ainsi dénommée. » Bernard Weber fut affecté comme artilleur dans une zone interdite où la seule possession d’un laissez-passer permettait aux civils de circuler. « Appelé en Algérie », un court-métrage d’une douzaine de minutes qu’il présente samedi en ouverture de la soirée intitulée « Algérie, une guerre sans fin », est composé de photographies et de diapositives sur sa période dans ce secteur.

Aux Montreurs d’images, samedi 5 juin, « Algérie, une guerre sans fin » avec Bernard et Christophe Weber. Projection de « Disparus en mission » et « Le Massacre de la rue d’Isly ». Un film, tarif habituel, 2 films + buffet (couscous), 15 €, adhérents 12 €. Réservations : 05 53 48 04 54.

Voir en ligne : Le DEPECHE

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