Les anciens harkis et leurs enfants refusent d’être enrôlés pour une Fondation qui serait vouée à la « colonisation positive », plaident Fatima Besnaci-Lancou, présidente de l’association Harkis et droits de l’Homme et Gilles Manceron, historien et vice-président de la Ligue des droits de l’homme sur (...)