NotreJournal - Procédure de sauvetage.

Lundi 21 février 2011, par MORA , popularité : 15%

Vous et NotreJournal | 7 |

Voilà !!

Après quelques mois de pose, les ennemis de Notre Journal, s’appuyant sur les résultats d’un procès, en notre défaveur, nous rejouent la chanson du quémandeur !

Bref Notre Journal doit sortir 4 000 € !

A l’instant présent, impossible de vous dire, comment nous allons faire !

Vos commentaires

# Le 21 février 2011 à 09:45, par Cactus En réponse à : NotreJournal - Procédure de sauvetage.

chers Amis bien sûr je compatis mais vous avez raison de ne pas aller en cassation quoique peut être ?

Si la condamnatin a été si lourde c’est que NOTRE JOURNAL dérange cela est certain. Certains doivent glousser de cette lourde condamnation à comparer de ce que l’on entend tous les jours et qui reste impuni mais c’est ainsi.

Bientôt 50 ans de traîtrise et de mensonges sur notre Cause ;*

« D’autre » part, pour les Français et les Français musulmans d’Algérie, le 19 mars 1962 n’a pas été la fin de la guerre, mais le début de sa pire période, celle durant laquelle ils se sont sentis abandonnés par la France, voire livrés à leurs ennemis par un retournement des alliances. Même si les nombres de morts après le cessez-le-feu le plus souvent cités par leurs défenseurs (5.000, 10.000 ou 25.000 Français d’Algérie enlevés, et 150.000 harkis massacrés par le FLN) sont mythiques, la réalité n’en reste pas moins tragique. La responsabilité indéniable de l’OAS, qui a refusé le cessez-le-feu et tenté de le saboter en provoquant des représailles du FLN par des attentats systématiques, atténue la portée de cet argument sans l’abolir entièrement.« » (dicsit PERVILLE"

http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_d%27Alg%C3%A9rie

« le » 14 juillet 2012 l’ambassadeur de France a Alger avait demander au President de faire défilé une délégation de l’armée algerienne sur les Champs Elysées le 14 juillet 2012,pour le cinquantenaire de l’indépendance de « l’Algérie »

Quelle honte pour la FRANCE , l’Etat Français n’a pas de figure. Ou va notre si beau Pays , c’est la descente aux enfers depuis 50 ans et la perte de son âme française.
# Le 21 février 2011 à 11:03, par Allezou...bIda ✞ En réponse à : NotreJournal - Procédure de sauvetage.

allez : 5 petits euros x 1000 soutiens (ou moins par plus de gentils donateurs) et ça fait le tout.

il serait regrettable de les laisser se réjouir sans lever le petit doigt.

montrons que nous somme solidaires, nous les PN lambda, de ceux qui oeuvre en notre faveur et qui essaie de rétablir la vérité.
# Le 21 février 2011 à 15:03, par Jean-Louis En réponse à : NotreJournal - Procédure de sauvetage.

Toucher GAVOURY (même avec des pincettes), c’est s’attaquer à une icône du gaullisme, et les gaullistes sont malheureusement toujours au pouvoir, n’en déplaise à certains qui continuent inlassablement à les soutenir directement ou indirectement.

Mais, tout bien considéré, la condamnation est excessive et, tout ce qui est excessif est dérisoire !

Il n’y a pas eu mort d’homme, seulement des paroles qui auraient pu être dites par n’importe quel Pied-Noir.

Aussi, je pense qu’il ne faut pas se coucher devant ce procédurier professionnel qui a développé son fonds de commerce bâti sur la haine du Pied-Noir, mort comme vivant, et qui doit en ce moment jubiler, mais se pourvoir en cassation.

La Cassation est une juridiction plus juste et beaucoup plus sérieuse que les juridictions inférieures. Les arguments ne manquent pas, à commencer par ceux énumérés par Némo.

En ce qui me concerne donc, je consentirai à vous aider une nouvelle fois qu’à cette seule condition.
# Le 21 février 2011 à 15:29, par Jean-Louis En réponse à : NotreJournal - Procédure de sauvetage.

Ci-dessous, extrait du commentaire d’Ivan Rioufol de ce jour (blog du Figaro) à propos de la condamnation d’Eric Zemmour :

((La victoire de... a été concédée par une justice qui n’inspire plus confiance à une partie de l’opinion de plus en plus attachée à la défense de la libre expression, que l’internet ne fera plus reculer. Or, c’est cette liberté qui est atteinte par le jugement....)).
# Le 21 février 2011 à 16:31, par MORA En réponse à : NotreJournal - Procédure de sauvetage.

Mon cher Jean Louis, tu as toujours été là et nous avons toujours apprécié fortement ton soutien sans équivoque.

La décision de poursuivre devait être prise dans la foulée, en effet, le délai est de 3 jours ouvrables et donc il fallait décider immédiatement des suites à donner ...

J’ai bien initié le pourvoi, mais nous avons décidé avec Thiodet de ne pas donner suite. L’écœurement est sans doute un élément de la décision ! Mais d’un autre côté, le pourvoi en cassation, n’a pas d’effet suspensif sur les condamnations et d’autre part, il ne s’attaque qu’à la forme.

Cette forme a fortement été contestée par nos défenseurs lors de deux séances, chaque fois, elles ont été ignorées totalement ... Sans doute parce que le Ministère public était là ? Donc dans cette perspective d’un autre échec programmé, il est apparu bon de stopper les dégâts ! Déjà les frais liés à cette affaire ont été considérables, devait-on poursuivre le massacre ?.

Il nous a semblé que non !

Tu as déjà beaucoup fait pour nous, aussi, il serait malvenu (et impensable) de te dire quoique ce soit de négatif !

Mais si nous avons perdu cette bataille, les choses ne sont pas terminées, il est probable qu’il faille maintenant sérieusement se grouper et envisager de "claquer le beignet à tous ces fâcheux" qui nient le passé, l’histoire, la mémoire de nos anciens et notre vraie place dans la communauté française.. Mais ça c’est un autre chapitre ... pour très bientôt !

Et nous ferons appel à tous les juristes, sympathisants ou pn ou harkis, qui voudront bien travailler avec nous dans ce sens ...
# Le 21 février 2011 à 17:29, par Jean Claude THIODET ✞ En réponse à : NotreJournal - Procédure de sauvetage.

Merci à tous nos amis pour leur soutien. Il faut savoir que notre procès en appel s’est déroulé en même temps que celui d’Eric ZEMMOUR, dans la chambre voisine. L’ambiance y était donc, sauf que ZEMMOUR a été moins durement condamné que nous et a bénéficié du sursis. La raison ?!!!!!. Nous ne pouvons pas assumer, en plus la charge énorme d’un pourvoi en cassation. Par contre il est inadmissible que notre ennemi juré, ou nos ennemis puissent venir troubler nos rassemblements mémoriels en ne manquant pas de nous insulter. S’ils poursuivent dans cette voie, il faut absolument que nous réagissions courageusement . Attendons la suite.
# Le 22 février 2011 à 17:19, par SINTES En réponse à : NotreJournal - Procédure de sauvetage.

j’avais adressé une lettre ouverte au Ministre de Justice il y a env. 2 ans copie à plusieurs assoc et périodiques : aucun écho ! je mettais en parallèle deux affaires concomittentes : un maghrébin traité de "sale arabe" lors d’un échange de messagerie téléphonique : très lourde condamnation pour les fautifs,..... un pieds-noirs traité de "sale pieds-noirs" devant témoin : simple admonestation ! voici la copie de ma LETTRE OUVERTE AU MINISTRE DE LA JUSTICE / Le 29/05/09
Monsieur le Ministre (ou Madame la ... : j’écris en une période de futur remaniement ministériel, semble-t-il !).
Il ressort des deux coupures de presse reproduites ci-joint que l’injure de "sale arabe" vaut à ses auteurs 8000 euros de "dommages et intérêts" et 500 euros d’amende, alors que l’injure de "sale pieds-noirs", d’abord classée "sans suite", a valu, après procédure d’Appel, à son auteur, un "Avertissement" (sans frais !). Si, dans le dernier cas, on s’était arrêté à 1 euro symbolique, on serait tout de même déjà à un ratio de Un pour 8500, et nous aurions pu en conclure que les nouvelles "casquettes" sont incontestablement surcotées par rapport à celles qui vont du célèbre couvre-chef de Bugeaud à la "casquette Bigeard" (oui : j’ai dit "Bigeard")..... Mais, ... là, ..., nous évoluons quelque part entre l’Infinitésimal et le Néant absolu. Fort heureusement, il y a belle lurette que j’ai appris à ne pas confondre Justice et Equité : par conséquent, contrairement aux "belles âmes" actuelles éprises d’exotisme, et toujours prêtes à se pâmer devant le moindre dôle subi par n’importe qui, pourvu qu’il ne s’agisse pas de "Franchouillards" ou de "sales colons", je ne me déclare pas "choqué" ..... : je constate, simplement ! . N’ayant pas l’ombre d’un doute quant à votre volonté de remédier à de telles absurdités, et néanmoins la totale certitude que vous n’y parviendrez pas, veuillez croire, Monsieur (ou Madame), le (ou la) Ministre, à mes très sincères condoléances. Henri SINTES Pupille de la Nation, fils de victime civile de la guerre d’Algérie.

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