Autopsie d’une recherche... Ce que nous faisons pour vous.

, par  LEMMER ✞ , popularité : 32%

Autopsie d’une recherche.

Le succès que nous avons eu et que nous avons encore autour des recherches surprend, intrigue, et soulève souvent des questions.

Aussi, nous avons décidé de faire "l’autopsie" d’une recherche, en prenant comme exemple celle de Monsieur André Vidal, demandé par Madame Clarac de Constantine.

Vidal, un patronyme particulièrement répandu en France et donc en Algérie, accolé à André, nous le savons va générer de grandes difficultés. Si on parcourt les annuaires, il n’y a pas loin de 300 personnes en France métropolitaine à porter ces nom et prénom.

Il faut envisager d’autres solutions, d’autres méthodes, elles sont assez nombreuses et grâce au net, un vrai travail de fourmi va être entrepris.

- C’est ce que nous avons commencé à faire (commencé juste....). Et déjà des résultats tombent, résultats qui apportent quelques indications sur une certaine marche à suivre, sans pour autant nous donner de réponse.

Mais nous avons appris que :

- Plusieurs familles Vidal habitaient Constantine, dont une rue Henri Martin en face du marchand de vin Monsieur Rosello (aujourd’hui décédé), nous allons essayer d’aller dans ce sens : un commerçant connait par définition tous les habitants de son quartier, peut-être son épouse aura-t-elle quelques souvenirs...

- Peu de chance qu’il y ait un lien avec Monsieur André Vidal, député de Constantine dans les années 1958/1962.

- Plusieurs noms liés à cette famille, ce sont des voisins : Masini, Agnetti, Lambèche, Ginoyer, Buigues (retrouvé mais n’a pas pu donner de précisions) et Schaub, grâce à eux il devrait être possible de retrouver la trace de la famille recherchée.

- Madame Clarac nous a signalé le décès du père d’André, peu de temps avant l’indépendance, tué d’une balle dans la tête, confirmé par certains contacts.

- Madame Clarac a aussi signalé que André (fils) a fait ses études à Toulouse, puis serait parti dans la région parisienne : mais il ne reste pas de trace de la famille à Toulouse, elle aurait habité la cité Amouroux dans cette ville.

- Notre rôle maintenant c’est : prendre contact avec les anciens voisins espérant que l’un d’eux nous mette sur la voie, comme Monsieur Ginoyer qui nous a indiqué le nom du marchand de vin rue Henri Martin.

- Nous tenons compte aussi de certains de nos pieds-noirs, âgés, résidents dans des maisons de retraite, qui sont seuls ou dont les enfants sont éloignés. Certaines maisons de retraite ont accepté de nous renseigner, mais ce n’est pas toujours le cas.

Dans le cas d’André Vidal, nous n’en sommes pas encore là.

Nous vous tiendrons au courant de la suite, en espérant bien apporter une réponse positive.

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