Trouver l’erreur

, par  Allezou...bIda ✞ , popularité : 37%

Quand l’interpellation, par les forces de l’ordre, d’une personne en infraction (mini-moto non homologuée, plaques illisibles, défaut de port du casque) se termine en drame -comme à Bagnolet- la population descend dans la rue, prend la police à partie et la guerre urbaine se rallume avec son cortège d’incendies de poubelles et de voitures, de caillassage de magasins et destruction de biens publics.

Lorsque dans une cité, l’incendie d’une H.L.M fait 5 morts suite à un règlement de compte entre dealers (il est à souligner que les halls d’entrée de cet immeuble étaient occupés par des groupes de jeunes et encombrés d’objets divers et variés, freinant l’évacuation des occupants), la population descend dans la rue, se plaignant de l’absence de forces de police pour faire régner l’ordre, alors que les caïds font la loi, et gâchent la vie des habitants.

Force est de constater que la police est toujours la cible de critiques, qu’elle agisse ou qu’elle se contente "d’obtempérer" aux directives de ses supérieurs hiérarchiques, eux-mêmes obéissant aux consignes de nos gouvernants : "ne pas faire de vague".

Un agent de police s’est exprimé sur une radio :

"un jeune sur une moto, en infraction, poursuivi : égal le maximum d’emmerdements. Alors nous nous contentons de faire un rapport" !!!

Ainsi les zones de non-droit continuent de proliférer, les ghettos augmentent et bientôt, pour vivre en sécurité, nous habiterons dans des résidences closes de toute part, avec des vigiles, des miradors et des chiens...

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