Le Cercle et ses définitions géométriques

, par  DiaOulRu , popularité : 26%

Selon la formule géométrique, le périmètre du Cercle dépend du rayon par l = 2 ? R (? = 3,1416 et R étant la longueur d’un rayon). Raisonnons par l’absurde, s’il y a rayon, il y a rayonnement ! Son équation est (x-a)² + (y­b)² = R² ayant pour centre w | a sur b et pour rayon R. Le lieu des points ayant même puissance par rapport aux deux cercles est l’axe radical.

Le Cercle concerne aussi quelques écoles et mouvements dits Républicains défendant des libertés orientées vers une information politique dite objective.

En cosmographie, la position conventionnelle déterminant que ce soit la terre tournant autour du Soleil, on choisit pour plus de facilité de faire comme si la terre était fixe, le Soleil et le Ciel tournant autour d’elle. On parle donc du mouvement apparent du Soleil autour de notre Planète d’où, définitions des pôles célestes P (boréal) et P’ (austral). Le grand cercle A d’axe PP’ étant équateur céleste. Le demi grand cercle PMP’ étant le méridien céleste de M. Le grand cercle sur lequel se trouve le méridien de M étant son cercle horaire. Le petit cercle (p) passant par M est son parallèle céleste. Le méridien de Z (soit m) est dans le même plan que le vertical de P (grand cercle contenant la verticale de P) qu’on appelle le méridien du lieu. Le plan vertical perpendiculaire au méridien du lieu s’appelant le premier vertical.

La géographie donne pour le Cercle Polaire une latitude de 66° 33’ et 15 992 916 m.

Le cercle trigonométrique C, dont le rayon est l’unité de longueur et sur lequel un point origine est choisi, un sens de parcours est choisi et appelé sens trigonométrique direct (ou positif). L’autre sens est le sens rétrograde ou négatif.

Si la ligne droite est le plus court chemin reliant un points A à un autre B, il est indéniable que le cercle est une figure géométrique qui avec son rayon de longueur égale partant de son point du milieu à valeur constante se reliant les deux extrémités A et B, les extrêmes se trouvant alors accolées au même endroit et faisant partie commune. Propriété de relation en mathématique moderne, relation symétrique, d’équivalence, d’ordre sagittale reliant les éléments de deux ensembles par définition physique opposés.

Il existe un Cercle qui, comme Quetzatcoatl, le Soleil, le Serpent a Plumes du Peuple Incas, le serpent qui se mord la queue, qui se l’avale, qui arrive au bout de sa tête et qui s’avale alors en entier, cercle qui disparaîtra un jour ou l’autre faute d’unité de longueur de son rayon par rapport à son point d’origine du milieu de son cercle...

Credo quia absurdum (Je le crois car cet article est absurde)

Navigation