Le curé de Toul jette l’éponge - mis à jour

, par  Kir , popularité : 30%

[(Note rédaction :
on nous signale que le problème a aussi été traité ici et là aussi)]

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L’église profanée, le curé menacé par des vandales se réclamant de l’Islam

Encore une fois, tous les grands médias nationaux se sont bien gardés d’en rapporter l’information, trop soumis qu’ils sont à la volonté gouvernementale de ne "surtout pas faire de vagues".

Aucun politique, non plus, n’a soulevé les faits. Mutisme de rigueur.

Quant aux grands "pourfendeurs associés des contrevenants aux Droits de l’Homme", HALDE en tête, ils n’ont pas plus daigné lever le petit doigt, eux pourtant toujours si prompts à s’enflammer et à porter, devant la Nation toute entière, la moindre incartade...sous condition de conformité à la propagande ambiante. Pourtant, c’est bien grâce à nos impôts qu’on les engraisse.

Partialité. Silence absolu partout. Sujet tabou !

A croire que la France démocratique se mue en état Soviet.

Pourtant, il y a plus que matière à s’indigner et à alerter les Français.

Parbleu ! il ne s’agit pas d’un incident aussi anodin que le chien de la crémière écrasé au coin de la rue. Chacun de nous est en droit d’imaginer, et d’en être convaincu, quel tollé assourdissant nous aurions entendu, communiqué à chaque JT du jour, si un imam et sa mosquée en eussent été victimes.

Les faits les plus graves se sont passés le 2 juillet, dans le quartier de la Croix-de-Metz, à Toul, alors que le brave abbé Noël supportait depuis longtemps, et sans mot dire, le vandalisme de son appartement situé au-dessus de l’église.
(Notons le même silence "anti-vague" de la part de l’Église qui supporte beaucoup, avant de réagir. A croire qu’il y a mot d’ordre, que c’est un complot.)

" C’est décidé, je pars. Ça devient insupportable. Depuis pratiquement une semaine, c’est tous les soirs ! " a déclaré l’abbé Noël.

" Depuis un an, je dirais que ce genre d’incident se produit irrégulièrement. Mais depuis mercredi dernier, ça ne s’arrête plus ou presque. A chaque fois, à partir de 21 h 30. "

Les cailloux et les parpaings pleuvent, certains le blessent, les vitres volent en éclats, le coffret électrique est pulvérisé, et - ô stupeur ! - la croix du toit de la chapelle est recouverte "d’une sorte d’étendard noir".

Hé oui, bien sûr, l’étendard du Djihad ! Nous le savons.

Mais les paroissiens de Toul et leur abbé l’ignorent, et chacun de s’interroger, seulement, sur la façon dont les vandales sont arrivés à atteindre le sommet de l’édifice.

" Dimanche soir, une pierre a volé. Elle a heurté mon poignet. Le verre de ma montre s’est brisé ! " confirme l’abbé qui ne cache plus la violence des faits et s’est décidé (enfin !) à porter plainte.

"Cette fois, ils m’ont menacé verbalement, en me disant : On aura ta peau ! "

Genèse de l’histoire - Coïncidence ?

A Toul, où les autorités restent sourdes à l’indignation des paroissiens, certains cherchent l’explication de cette montée de violence fanatique du côté de la mosquée, où un Cheik marocain, Omar Al Qazâbri, fut récemment invité et y récita la Sourate Al Hachr, devant tous les fidèles. Coïncidence ?

Cette Sourate médinoise fut révélée à propos de la bataille de Khaybar, menée contre la tribu juive des Banu-Nadir.

Les premiers versets de la Sourate évoquent le sort des Banu-Nadir, plus nombreux, plus riches et mieux armés que les musulmans. Pourtant, grâce au soutien d’Allah, les musulmans triomphèrent et se partagèrent les biens des vaincus.

Le message s’exprime ainsi : "ceux qui osent combattre Allah et son messager, en résistant au pouvoir de Dieu rencontreront toujours la même fin.
Les biens détenus par les non musulmans sont illicites et doivent être récupérés par les musulmans, dont l’action violente est par conséquent licite et même obligatoire comme devoir divin du croyant”.

En voici un extrait :

Expulsion des Banu Nadir : (Sira II 190 - 203) : "Le prophète attaque les Banu Nadir : les juifs négocièrent leur vie en contrepartie de leur départ. Mahomet accepta et répartit l’important butin."

Le trésor des Banu Nadir (Sira II 336 - 337) : "Le mari de Cafiyya détenait le trésor. Sommé par le Prophète d’en révéler la cachette, il fut torturé par les musulmans puis eut la tête tranchée quand une paille fut découverte."

Histoire de Cafiyya, mère des croyants (Sira II 636) : "Les captives de Khaybar furent largement réparties entre les musulmans. Le Prophète eut en partage Cafïyya et deux de ses cousines. Il mit son manteau sur Cafiyya après l’avoir fait asseoir. Les musulmans comprirent qu’il se la réservait."

Puisque nous avons la chance d’avoir un spécialiste, Loïc, notre Docteur es-Islam, arabophone de surcroît, laissons-lui le soin de mieux expliquer la lettre et l’esprit de cette sourate (mais nous somme loin de l’esprit dans cette affaire).

Qu’il soit, ici, remercié, de bien vouloir nous éclairer, mieux que je n’aie tenté de le faire dans cet article, malgré l’aide des moteurs de recherche.

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Voir en ligne : PROFANATIONS EN FRANCE

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