WEB - La maison d’édition se démarque de ses concurrentes françaises...

Mais Hachette a été plus rude sur les négociations que les maisons américaines ayant passé un accord avec Google l’an passé. Car c’est Hachette, plus grande maison d’édition française, et non Google, qui décidera quels livres, dans tous ceux couverts par l’accord (comprenant donc les ouvrages pas encore tombés dans le domaine public, mais dont les exemplaires papiers sont épuisés) pourront être numérisés. Google et Hachette partageront les bénéfices des ventes, mais n’ont pas expliqué dans quelles conditions.

Si on veut que demain, les gros fournisseurs de contenus participent à la prise en charge des réseaux européens, il faut bien préparer le terrain de négociation !

Les modèles économiques français des éditeurs sont éculés et datent du 19ème siècle !

Déjà FREE a démontré qu’en France on pouvait facturer autre chose que du trafic (ancienne mode télécom made in France) !

Ils ont ainsi tout inventé, le téléphone gratuit, la télé sur le Net etc...

Vivons demain pas hier !!