La désinformation, une tactique politicienne

, par  Allezou...bIda ✞ , popularité : 32%


IMMIGRATION : TRÈS CHÈRES BANLIEUES !

L’essayiste et historien Arnaud Raffard de Brienne a récemment publié un excellent ouvrage, La Désinformation autour de l’immigration (que Voix des Français a choisi de distribuer dans sa librairie).

Arnaud Raffard de Brienne expose, dans cet ouvrage, une remarquable analyse des dangers et conséquences de l’immigration de masse qui touche la France.

Il nous livre ici un extrait de ses brillantes analyses :

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Dans la nuit du 15 au 16 mai 2009, des coups de feu ont été tirés sur des policiers tombés dans une embuscade criminelle. Alors qu’ils transportaient à l’hôpital un « homme » - on appréciera la sobriété du vocabulaire - lui-même soupçonné d’avoir tiré sur des policiers avec un pistolet à grenailles, les policiers ont essuyé une rafale d’arme automatique. Pas n’importe quelle arme automatique, un fusil d’assaut, la célèbre Kalachnikov omniprésente dans tous les plus ou moins mauvais combats.

Nous en sommes là, aujourd’hui, dans la république sarkozyenne. Non seulement les fameuses banlieues ne sont pas nettoyées, fut-ce au Kärcher, mais l’usage d’armes à feu à l’encontre des policiers s’y banalise de jour en jour.

Plus de quatre décennies de mensonges et de déni de la réalité nous ont amené aux prémices avancées de la guérilla urbaine. Tout cela était prévisible, a été dit et répété de longue date par une poignée d’hommes luttant désespérément contre l’indifférence, les sarcasmes, la calomnie et se heurtant à un épais mur du silence. L’accusation infamante de racisme discrédite durablement toute personne qui la subit.

Aujourd’hui encore, alors que la situation de la France est dramatique, pas question pour ceux qui se sont trompés et ont trompé une majorité de citoyens de faire amende honorable. Difficile d’accepter de s’être trompé ou tu par lâcheté, pendant près de quatre décennies et d’avoir l’humilité de reconnaître ses égarements. Les naufrageurs de notre nation s’engagent au contraire dans une course à l’abîme, en enjoignant de plus en plus fermement nos compatriotes à se métisser et à se diluer comme pour effacer au plus vite les traces de leur crime.

Chaque jour apporte son lot d’inquiétantes nouvelles en provenance des fameuses banlieues.

Pas un jour en effet sans que l’on ne nous parle des banlieues sensibles ou difficiles, sans d’ailleurs jamais nous indiquer clairement que c’est l’immigration qui est directement la cause de leur « sensibilité » ou de leurs « difficultés ».

Tout le monde le sait, mais il ne faut pas le dire… L’immigration est certainement, comme nous l’avons déjà évoqué, le plus grand tabou de la deuxième moitié du XXe siècle et du début du XXIe.

Pourtant, année après année, l’argent public s’y déverse à flots, au hasard d’une politique de la Ville qui vit défiler dix-neuf ministres successifs. Notons que cette politique démarrait sous de médiocres auspices si l’on se souvient que c’est Bernard Tapie qui le premier en assuma la direction. Il dut d’ailleurs se démettre en raison des démêlés judiciaires qu’il affrontait déjà… Cet habile bateleur se présentait alors un peu comme le sauveur des banlieues, fort de l’aura qu’il possédait encore à cette époque, mais il n’est de truc qui ne soit tôt ou tard éventé et la prestidigitation ne peut durablement tenir lieu de politique efficace. Jean-Louis Borloo fit aussi un instant rêver dans les chaumières, mais son plan du même nom, appelé aussi « Plan de cohésion sociale », ne couvrait qu’un certain nombre de mesures dites d’intégration, pour la bagatelle de 12,7 milliards d’euros sur cinq ans, pour un résultat qui continue à se faire attendre.

C’est aujourd’hui Fadela Amara qui s’y colle avec son « Plan banlieue » au sujet duquel elle déclara bien immodestement : « Nous n’avons pas le droit à l’erreur, le “plan banlieue” cette fois doit être le bon. Jusqu’à présent il y à eu beaucoup de plans et beaucoup d’esbroufe ». Les contribuables lessivés apprécieront cette dernière remarque. Là aussi, la prestidigitation ne suffit pas et l’avalanche de critiques que subit Fadela Amara et son plan prouve, s’il en était encore besoin, qu’il n’existe, hélas, aucune recette miracle à appliquer. Sa mesure phare, le contrat d’autonomie, est un échec total. À peine 1.000 jeunes ont trouvé un métier ou une formation et encore à un prix défiant toute concurrence : des « coaches » ont perçu 7.500 euros par « jeune » qui, lui-même, perçoit 300 euros. Pour le reste, que fait Fadela Amara ? Elle réclame, elle aussi, des moyens, encore et toujours plus de moyens. Devinez qui paiera ?

Que pensent les acteurs de terrain du « Plan banlieue » ? Arnaud Ils pensent que rien n’a changé de l’état de délabrement de nos (très) chères banlieues. Et si changement il y a quand même, ce n’est apparemment pas dans la bonne direction. « Ça a changé, mais en pire », considère Mohamed Mechmach, président du collectif AC le Feu, fondé à Clichy-sous-Bois en novembre 2005 .

Les milliards engloutis n’ont en effet permis en près de quatre décennies que d’évoluer des jets de pierres au tir d’armes de guerre sur les représentants de l’ordre. On appréciera la progression si chèrement payée.

Les rapports de la Cour des comptes se suivent et se ressemblent pour épingler l’accablant bilan de cette politique de la Ville. Ainsi, rien qu’en 2006, ce sont plus de 4 milliards d’euros qui ont été engloutis, hors programme de rénovation urbaine, pour aboutir à un taux de chômage de 22 %, plus de deux fois supérieur à la moyenne nationale qui s’établit à 10 % et comprend bien sûr le chômage des immigrés appartenant à la population active. La Cour des comptes, fidèle à son style ampoulé, estime que « L’efficacité et l’efficience de la politique de la Ville restent incertaines ». Monsieur Jourdain n’eut pas mieux dit.

Comme les voitures, les coûts flambent au rythme de l’escalade de la délinquance. Rien que les Z.E.P. (zones d’éducation prioritaires) ont engendré un surcoût d’un demi-milliard d’euros pour l’année 2005. Beaucoup plus pour 2006 et 2007, qui ont vu l’émergence des « Collèges ambition-réussite », un énième « machin », aussi productif que les dizaines d’expériences calamiteuses menées au gré de l’imagination des politiciens à durée déterminée. Ce sont à chaque fois des recrutements de pédagogues, d’enseignants et d’une kyrielle d’assistants et auxiliaires.

On a le vertige en découvrant les dizaines de dispositifs existants, aux financements inextricables allant de la commune aux instances européennes, le foisonnement de milliers d’associations subventionnées touchant à tous les aspects imaginables et même inimaginables de l’immigration. Les financements sont si nombreux et complexes qu’il fallut créer en 2006 un énième machin, l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (ACSE), dotée dès sa création de 428 millions d’euros, destiné à « fluidifier les circuits de financement ». Une usine à gaz pour essayer de comprendre comment fonctionnent d’autres usines à gaz, en quelque sorte.

La Cour des comptes dans son rapport 2002-2006 finit par reconnaître qu’il y a « une multiplication des instances » s’imbriquant les unes dans les autres et demande aux acteurs de la Ville de « stabiliser le pilotage national », ce qui, en langage décodé, signifie d’arrêter de créer des structures bidons et ruineuses. Elle évoque aussi les colonies d’associations subventionnées, dans lesquelles œuvrent sans doute un certain nombre de braves gens, mais sans résultat vraiment tangible. Dans son rapport publié en novembre 2007, la docte Cour reprend un rapport de 2002 dont elle déplore qu’il soit demeuré sans effets et livre un bilan très critique d’une « politique jugée peu lisible se traduisant par un empilement de dispositifs ».

Parallèlement, le constat d’échec de la prétendue intégration est patent et transgresse amplement les clivages politiques gauche et droite. Des voix autorisées s’élèvent pour affirmer qu’il va falloir payer encore beaucoup plus que nous ne l’avons fait et que le plus difficile est devant nous. L’immigration achèvera de ruiner la France dans des proportions que l’immense majorité de nos concitoyens ne préfèrent pas envisager.


Aujourd’hui, que l’on nomme ou non les choses, le constat est là : les « banlieues » s’acheminent jour après jour vers la guerre civile.

D’ailleurs, si les forces de l’ordre, tétanisées pas la crainte de la bavure, au lieu de servir de cibles vivantes et de compter, à chaque accrochage, dix fois plus de blessés que les agresseurs, présentaient des réactions normales et adaptées aux situations rencontrées, nous aurions basculé depuis plusieurs années dans la guerre civile-ethnique.

C’est d’ailleurs la grande hantise des ministères de l’Intérieur et des gouvernements successifs qui tentent à coups de budgets et d’abaissements sans fin d’endiguer la dérive vers une situation qu’ils sentent inéluctable.

Il faut à tout prix que les Français évitent de penser à cette éventualité dramatique de crainte qu’ils ne la provoquent eux-mêmes.

Les restrictions continues sur les possibilités d’acquérir et de détenir des armes à feu depuis une vingtaine d’années n’ont d’ailleurs d’autre objectif que de désarmer préventivement les Français, les dissuadant ainsi d’envisager, même en pensée, une possible défense de leur territoire.

Si l’on s’en tient aux faits, le nombre de victimes tuées par armes à feu chaque année est d’ailleurs totalement insignifiant, excepté les suicides. La vraie raison de ce désarmement général et progressif de la population est bien entendu ailleurs.

Nos gouvernants successifs et notamment les ministres de l’Intérieur et les dirigeants nationaux de la police et de la gendarmerie vivent au quotidien l’angoisse de la « bavure » et de dérapages dans les situations qui les opposent quotidiennement aux « bandes » de « Jeunes » des « banlieues » appelés aussi « jeunes issus de l’immigration » ou « zissus » si l’on préfère. Certains savent en leur for intérieur que la lâcheté, l’immobilisme et notre immense générosité contrainte ne font que retarder de bien pénibles échéances, la seule question demeurant : jusqu’à quand ?

Concernant l’usage d’armes à feu contre des policiers et tout récemment d’un fusil d’assaut, voici ce que déclarait Xavier Raufer, criminologue, à l’émission « C dans l’air », le 22 mai 2009 :
« Quand, dans un État de droit en paix, des individus se servent d’armes de guerre, dans le cadre d’une opération préméditée, pour tirer sur des représentants de forces de l’ordre, cela s’appelle un acte de guerre civile. »

C’est une évidence, mais cet aveu reste marginal et isolé et une question demeure : jusqu’à quand pourra-t-on éviter de nommer les choses ? Jusqu’à quand litotes, euphémismes et périphrases pourront-t-ils tenir lieu de communication exclusive et suffire à chloroformer nos concitoyens ?

Par Arnaud Raffard de Brienne

Né en 1954 à Rouen, Arnaud Raffard de Brienne est un essayiste et un historien français.

[violet]Il a publié La désinformation autour de l’esclavage et La désinformation autour de la colonisation, ouvrages dans lesquels il reprend le concept de désinformation, telle que l’a défini l’écrivain Vladimir Volkoff — par ailleurs ami de son père[réf. nécessaire] Daniel Raffard de Brienne (1927-2007) —, au travers de la presse et de la science historique : « La désinformation est une manipulation de l’opinion publique, à des fins politiques avec une information traitée par des moyens détournés. »

[violet]
Dans La désinformation autour de l’esclavage, Arnaud Raffard de Brienne tente de démontrer que les ravages causés par l’esclavage pratiqué par les Arabes et les Africains eux-mêmes ont été quasiment occultés[1]. Dans son second ouvrage, La désinformation autour de la colonisation, il défend l’idée selon laquelle la colonisation aurait eu un aspect positif indéniable (sans néanmoins remettre en cause les méfaits coloniaux), et « qu’elle contribua à arracher aux ténèbres des peuples tenus en esclavage et soumis à des pratiques abominables[2]. »[/violet]
(source wikipédia)

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Voilà un ouvrage que nos hommes politique devraient avoir la sagesse d’emporter en vacances afin de s’imprégner de cette brillante analyse, cette édifiante lecture leur ouvrirait les yeux sur le ressenti des Français face à leur quotidien (électeurs payables et corvéables), et leur donnerait le courage de prendre, avant qu’il ne soit trop tard, les décisions qui s’imposent afin d’éviter que des citoyens excédés ne se décident de faire le travail à leur place, ce qui ne serait pas la meilleure chose qui puisse arriver : les débordement seraient dramatiques et le résultat pourrait révéler bien des surprises.

Voir en ligne : http://www.vdfr95.com/Journal124/tr...

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